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Cette condition représente un facteur de risque pour la santé de la femme enceinte ou du bébé, car l'accouchement vaginal est plus complexe. Habituellement, en effet, la tête est la première partie à sortir, ainsi que la plus délicate, suivie du reste du corps ; évidemment, dans les accouchements par le siège, c'est l'inverse qui se produit : la tête est relevée, tandis que les fesses ou les pieds sont abaissés, prêts à être canalisés dans le canal génital.
La position du siège du fœtus représente en soi une anomalie lorsqu'elle survient en fin de grossesse et, à ce titre, doit être prise en charge avec l'aide d'un gynécologue et d'un obstétricien expert, capable d'effectuer des manœuvres d'assistance spécifiques.
Les interventions pour corriger la position du siège du fœtus, avant la date présumée de l'accouchement, sont différentes. Pour favoriser le retournement spontané, il est possible de recourir à des manipulations externes de l'abdomen (réalisées par du personnel médical et spécialisé, en milieu hospitalier) ou d'essayer des techniques alternatives (comme les exercices posturaux et la moxibustion). ne sont pas efficaces Pour faciliter la naissance du bébé, une césarienne peut être indiquée.
; lorsqu'elle survient vers la fin de la grossesse ou pendant le travail, la tête de l'enfant à naître est tournée vers le haut, plutôt que d'être engagée dans le bassin maternel (c'est-à-dire vers le bas de l'utérus).
Cette condition particulière affecte environ 4% des grossesses à terme. Habituellement, dans la période précédant l'accouchement, la plupart des fœtus sont en présentation céphalique, c'est-à-dire dans la position idéale pour naître, la tête en bas et les pieds en haut.