, se détendre et vivre : on voit donc bien comment l'anhédonie reflète les troubles mentaux, la dépression et la psychose chronique en général.
Plus précisément, l'anhédonie est définie comme « sociale » lorsque le désintérêt ne vise que les relations interpersonnelles, alors qu'elle est « physique » lorsque la nourriture, le sexe et les émotions ne procurent aucun plaisir au sujet. La définition est affinée en « anhédonie sexuelle » pour indiquent l'incapacité de jouir dans le simple acte sexuel, une sorte d'anorgasmie.
Concernant le lien anhédonie-schizophrénie, la réflexion des psychologues et des psychiatres n'est pas univoque : certains considèrent l'anhédonie comme symptôme de la schizophrénie, sorte de marqueur de la maladie, d'autres cependant considèrent la pathologie anhédonique comme un trait qui prédispose le sujet à la manifestation d'une psychose schizophrénique.
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Plus précisément, l'anhédonie est définie comme « sociale » lorsque le désintérêt ne vise que les relations interpersonnelles, alors qu'elle est « physique » lorsque la nourriture, le sexe et les émotions ne procurent aucun plaisir au sujet. La définition est affinée en « anhédonie sexuelle » pour indiquent l'incapacité de jouir dans le simple acte sexuel, une sorte d'anorgasmie.
, la maladie de Parkinson, la dépression et les troubles de l'humeur en général.Selon les estimations, 40 % des patients atteints de la maladie de Parkinson auraient en même temps une anhédonie.
Concernant le lien anhédonie-schizophrénie, la réflexion des psychologues et des psychiatres n'est pas univoque : certains considèrent l'anhédonie comme symptôme de la schizophrénie, sorte de marqueur de la maladie, d'autres cependant considèrent la pathologie anhédonique comme un trait qui prédispose le sujet à la manifestation d'une psychose schizophrénique.
- Parmi les partisans de la première théorie, on se souvient du Dr Carpenter et du Dr Kirkpatrick, selon lesquels "l'anhédonie était"symptôme primaire et durable», Un élément indispensable pour diagnostiquer la schizophrénie chez les patients ; encore une fois, le Dr Crow, un psychiatre anglo-saxon, considérait l'anhédonie comme le principal symptôme de la schizophrénie.
- En opposition à cette théorie, d'autres chercheurs rejettent le concept selon lequel « l'anhédonie représente le marqueur de la schizophrénie : le trouble anhédonique est comparé à un maladie génétiquement transmissible, un caractère inné qui jette les bases de l'apparition de la manifestation schizophrénique.
L'anhédonie joue également un rôle d'une importance considérable dans la dépression : dans les premiers stades dépressifs, le sujet se plaint d'une incapacité à tirer satisfaction des petites activités quotidiennes qui, en règle générale, sont considérées comme agréables.
Ce qui différencie l'anhédonie dans le contexte schizophrénique de celle dans le contexte dépressif, c'est que dans ce dernier cas la difficulté à ressentir du plaisir survient à un certain moment, alors que dans la schizophrénie l'anhédonie est stable dans le temps et ne survient pas à un stade particulier de la maladie.