La sexualité devient ainsi un substitut à l'amour, comparable à d'autres addictions comme "l'alcoolisme ou" la consommation de drogue. Dans certains cas, la nymphomanie peut être soutenue par une pathologie psychique sous-jacente (du trouble de la personnalité borderline à la dépression) A d'autres moments, cette forme d'hypersexualité peut être favorisée par des facteurs environnementaux et physiologiques, tels que les déséquilibres endocriniens et les maladies neurologiques.
La nymphomanie doit être reconnue et traitée par des interventions ciblées. Les stratégies les plus efficaces pour surmonter ce trouble comprennent les médicaments et les cours de psychothérapie avec une orientation cognitivo-comportementale.
compulsif.
Il en résulte une dépendance similaire à celle que l'on peut avoir pour tout type de drogue ou d'alcool : si la pulsion sexuelle n'est pas satisfaite, un état d'anxiété peut s'ensuivre.
Initialement, la nymphomanie était considérée comme une perversion (dans les premiers traités de psychologie qui traitent du sujet on parle de « rage utérine »). Depuis 1992, l'Organisation mondiale de la santé reconnaît l'hypersexualité féminine comme une pathologie qui déclenche un désir sexuel insatiable et perpétuellement insatisfait.