Ingrédients actifs : Métoclopramide
PLASIL 10 mg/2 ml solution injectable
Les notices d'emballage Plasil sont disponibles pour les packs :- PLASIL 10 mg comprimés
- PLASIL 10 mg / 10 ml sirop
- PLASIL 10 mg/2 ml solution injectable
Pourquoi Plasil est-il utilisé ? Pourquoi est-ce?
Plasil appartient à la classe des médicaments pour les troubles fonctionnels gastro-intestinaux et associe de fortes propriétés antiémétiques à une activité procinétique intestinale.
INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES
Population adulte
Plasil est indiqué chez l'adulte pour :
- Prévention des nausées et vomissements postopératoires (NVPO)
- Traitement symptomatique des nausées et vomissements, y compris nausées et vomissements aigus induits par la migraine
- Prévention des nausées et vomissements induits par la radiothérapie (RINV)
Population pédiatrique
Plasil est indiqué chez les enfants âgés de 1 à 18 ans pour :
- Prévention des nausées et vomissements induits par la chimiothérapie (CINV) comme option de deuxième intention
- Traitement des nausées et vomissements postopératoires (NVPO) en deuxième intention
Contre-indications Quand Plasil ne doit pas être utilisé
- Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1
- Hémorragie gastro-intestinale, obstruction mécanique ou perforation gastro-intestinale pour laquelle la stimulation de la motilité gastro-intestinale présente un risque
- Phéochromocytome confirmé ou suspecté, en raison du risque d'épisodes d'hypertension sévère
- Patients atteints de glaucome
- Antécédents de dyskinésie tardive induite par les neuroleptiques ou le métoclopramide
- Épilepsie (augmentation de la fréquence et de l'intensité des crises)
- la maladie de Parkinson
- Association avec la lévodopa ou des agonistes dopaminergiques (voir rubrique "Interactions")
- Antécédents connus de méthémoglobinémie avec métoclopramide ou de déficit en NADH cytochrome b5 réductase
- Utilisation chez les enfants de moins de 1 an en raison du risque accru de troubles extrapyramidaux (voir rubrique "Mises en garde spéciales")
Précautions d'emploi Quelles sont les informations à connaître avant de prendre Plasil
Insuffisance rénale et hépatique
Chez les patients présentant une insuffisance rénale ou une insuffisance hépatique sévère, une réduction de la posologie est recommandée (voir rubrique « Posologie, mode et heure d'administration »).
Pathologies cardiaques
Des effets indésirables cardiovasculaires graves, notamment des cas de collapsus circulatoire, de bradycardie sévère, d'arrêt cardiaque et d'allongement de l'intervalle QT ont été rapportés suite à l'administration de métoclopramide injectable, en particulier par voie intraveineuse (voir rubrique « Effets indésirables »).
Il convient d'être particulièrement prudent lors de l'administration de métoclopramide, en particulier par voie intraveineuse aux personnes âgées, aux patients présentant des troubles de la conduction cardiaque (y compris un allongement de l'intervalle QT), aux patients présentant un déséquilibre électrolytique non corrigé, une bradycardie et aux patients prenant d'autres médicaments connus pour allonger l'intervalle QT.
Les doses intraveineuses doivent être administrées sous forme de bolus lent (d'une durée d'au moins 3 minutes) pour réduire le risque d'effets indésirables (p. ex., hypotension, akathisie).
L'augmentation possible des taux de prolactine doit être soigneusement étudiée, en particulier chez les patientes atteintes d'un cancer du sein ou d'un adénome hypophysaire sécrétant de la prolactine.
L'utilisation concomitante de métoclopramide avec des boissons alcoolisées n'est pas recommandée.
Interactions Quels médicaments ou aliments peuvent modifier l'effet de Plasil
Informez votre médecin ou votre pharmacien si vous avez récemment pris tout autre médicament, même sans ordonnance.
Associations contre-indiquées
La lévodopa ou les agonistes dopaminergiques et le métoclopramide s'antagonisent mutuellement (voir rubrique « Contre-indications »).
Associations à éviter :
L'alcool renforce l'effet sédatif du métoclopramide
Associations à considérer :
En raison de l'effet procinétique du métoclopramide, l'absorption de certains médicaments peut être altérée.
Anticholinergiques et dérivés de la morphine
Les anticholinergiques et les dérivés de la morphine peuvent tous deux avoir un effet antagoniste du métoclopramide sur la motilité du tube digestif.
Dépresseurs du système nerveux central (dérivés de la morphine, anxiolytiques, antihistaminiques sédatifs H1, antidépresseurs sédatifs, barbituriques, clonidine et médicaments apparentés)
Les effets sédatifs des médicaments dépresseurs du SNC et du métoclopramide sont potentialisés.
Neuroleptiques
Le métoclopramide peut avoir un effet additif avec d'autres neuroleptiques en cas de troubles extrapyramidaux.
Médicaments sérotoninergiques
L'utilisation de métoclopramide avec des médicaments sérotoninergiques tels que les ISRS peut augmenter le risque de syndrome sérotoninergique.
Digoxine
Le métoclopramide pourrait réduire la biodisponibilité de la digoxine. Une surveillance étroite des concentrations plasmatiques de digoxine est nécessaire.
Cyclosporine
Le métoclopramide augmente la biodisponibilité de la cyclosporine (Cmax de 46 % et exposition de 22 %). Une surveillance étroite des concentrations plasmatiques de cyclosporine est nécessaire. Les conséquences cliniques sont incertaines.
Mivacurium et suxaméthonium
L'injection de métoclopramide peut prolonger la durée du bloc neuromusculaire (par inhibition des cholinestérases plasmatiques).
Inhibiteurs puissants du CYP2D6
Les niveaux d'exposition au métoclopramide sont augmentés en cas d'administration concomitante avec des inhibiteurs puissants du CYP2D6 tels que la fluoxétine et la paroxétine. Bien que la signification clinique soit incertaine, les patients doivent être surveillés pour des effets indésirables.
Cisplatine
Certaines observations rapportent, avec le métoclopramide, une augmentation de la toxicité rénale du cisplatine.
Insuline
En réduisant le transit intestinal, y compris alimentaire, le traitement par métoclopramide peut nécessiter un ajustement de la posologie d'insuline dans le diabète. Le métoclopramide réduit également les effets de l'apomorphine sur le S.N.C.
Avertissements Il est important de savoir que :
Troubles neurologiques
Des troubles extrapyramidaux peuvent survenir, en particulier chez l'enfant et l'adulte jeune et/ou avec l'utilisation de doses élevées.Ces réactions surviennent généralement en début de traitement et peuvent survenir après une seule administration. Le métoclopramide doit être arrêté immédiatement en cas de symptômes extrapyramidaux. Ces effets sont généralement totalement réversibles après l'arrêt du traitement mais peuvent nécessiter un traitement symptomatique (benzodiazépines chez l'enfant et/ou anticholinergiques et antiparkinsoniens chez l'adulte).L'intervalle de temps d'au moins 6 heures entre deux administrations doit être respecté comme précisé dans la rubrique « Dose, mode et heure d'administration, y compris en cas de vomissements et de rejet de la dose, afin d'éviter les cas de surdosage.
Un traitement prolongé par métoclopramide peut provoquer une dyskinésie tardive potentiellement irréversible, en particulier chez les personnes âgées. La durée du traitement ne doit pas dépasser 3 mois en raison du risque de dyskinésie tardive (voir rubrique « Effets indésirables »). Le traitement doit être interrompu si des symptômes de dyskinésie tardive apparaissent.
Un syndrome malin des neuroleptiques a été rapporté avec le métoclopramide en association avec des neuroleptiques ainsi qu'en monothérapie par le métoclopramide (voir rubrique "Effets indésirables"). En cas de symptômes de syndrome malin des neuroleptiques, le métoclopramide doit être arrêté immédiatement et un traitement instauré. Des précautions particulières doivent être prises. chez les patients atteints de maladies neurologiques concomitantes et chez les patients traités par d'autres médicaments agissant sur le système nerveux central (voir rubrique « Contre-indications »)
Les symptômes de la maladie de Parkinson peuvent être exacerbés par le métoclopramide.
Méthémoglobinémie
Une méthémoglobinémie possiblement liée à un déficit en NADH cytochrome b5 réductase a été rapportée. Dans de tels cas, le métoclopramide doit être arrêté immédiatement et définitivement et des mesures appropriées (telles qu'un traitement au bleu de méthylène) doivent être prises.
La grossesse et l'allaitement
Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien avant de prendre tout médicament.
Grossesse
Un grand nombre de données sur les femmes enceintes (plus de 1 000 résultats d'exposition) indique l'absence de toxicité malformative et de foetotoxicité. En cas de nécessité clinique, le métoclopramide peut être utilisé pendant la grossesse. En raison des propriétés pharmacologiques (comme avec les autres neuroleptiques), un syndrome extrapyramidal chez le nouveau-né ne peut être exclu lorsque le métoclopramide est administré en fin de grossesse. Le métoclopramide doit être évité en fin de grossesse. Si le métoclopramide est utilisé, une surveillance néonatale doit être instaurée.
L'heure du repas
Le métoclopramide est excrété dans le lait maternel à de faibles taux. Des effets indésirables chez le nourrisson allaité ne peuvent être exclus. Par conséquent, le métoclopramide n'est pas recommandé pendant l'allaitement.L'arrêt du métoclopramide chez la femme qui allaite doit être envisagé.
Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
Le métoclopramide peut provoquer de la somnolence, des étourdissements, des dyskinésies et des dystonies qui peuvent affecter la vision et également interférer avec l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.
Informations importantes sur certains des excipients
Le sirop Plasil contient du parahydroxybenzoate de méthyle et du parahydroxybenzoate de propyle qui peuvent provoquer des réactions allergiques (y compris retardées). Le sirop Plasil contient de l'alcool éthylique. Pour ceux qui pratiquent des activités sportives, l'utilisation de médicaments contenant de l'alcool éthylique peut déterminer des tests de dopage positifs par rapport aux limites de concentration en alcool indiquées par certaines fédérations sportives.
Posologie et mode d'utilisation Comment utiliser Plasil : Posologie
La solution peut être administrée par voie intraveineuse ou intramusculaire.
Les doses intraveineuses doivent être administrées en bolus lent (au moins 3 minutes)
Toutes indications (patients adultes)
Pour la prévention des nausées et vomissements postopératoires (NVPO), une dose unique de 10 mg est recommandée.
Pour le traitement symptomatique des nausées et vomissements, y compris les nausées et vomissements aigus induits par la migraine et pour la prévention des nausées et vomissements induits par la radiothérapie (RINV) : la dose unique recommandée est de 10 mg, répétable jusqu'à 3 fois par jour.
La dose maximale recommandée est de 30 mg ou 0,5 mg/kg de poids corporel. La durée du traitement injectable doit être la plus courte possible puis passer à une administration orale ou rectale dès que possible.
Prévention des nausées et vomissements retardés induits par la chimiothérapie (CINV) (patients pédiatriques âgés de 1 à 18 ans)
La dose recommandée est de 0,1 à 0,15 mg/kg de poids corporel, répétable jusqu'à trois fois par jour par voie orale. La dose maximale en 24 heures est de 0,5 mg/kg de poids corporel.
Tableau posologique
La durée maximale de traitement est de 48 heures pour le traitement des nausées et vomissements postopératoires déterminés (NVPO)
La durée maximale de traitement est de 5 jours pour la prévention des nausées et vomissements retardés induits par la chimiothérapie (CINV)
Il est recommandé d'administrer le médicament aux doses indiquées
Mode d'administration :
Un intervalle minimum de 6 heures entre deux administrations doit être respecté (voir rubrique « Mises en garde particulières »).
Mode d'emploi
Le flacon s'ouvre sans fichier.
Populations particulières
personnes agées
Chez les patients âgés, une réduction de la dose doit être envisagée en fonction de la fonction rénale et hépatique et de la sensibilité générale.
Insuffisance rénale
Chez les patients atteints d'insuffisance rénale terminale (clairance de la créatinine ≤ 15 ml/min), la dose quotidienne doit être réduite de 75 %. Chez les patients présentant une insuffisance rénale modérée à sévère (clairance de la créatinine 15-60 ml/min), la dose quotidienne doit être réduite de 50 %.
Insuffisance hépatique
Chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère, la dose doit être réduite de 50 %.
D'autres formes/dosages pharmaceutiques peuvent être plus appropriés pour l'administration dans ces populations spécifiques.
Population pédiatrique
Le métoclopramide est contre-indiqué chez les enfants de moins de 1 an (voir rubrique « Contre-indications »).
Surdosage Que faire si vous avez pris trop de Plasil
Signes et symptômes
Des symptômes extrapyramidaux, une somnolence, une diminution du niveau de conscience, une confusion, des hallucinations et un arrêt cardiorespiratoire peuvent survenir.
La gestion
En cas de symptômes extrapyramidaux liés ou non à un surdosage, le traitement est uniquement symptomatique (benzodiazépines chez l'enfant et/ou antiparkinsoniens anticholinergiques chez l'adulte).
Un traitement symptomatique et une surveillance continue des fonctions cardiovasculaires et respiratoires doivent être pratiqués en fonction de l'état clinique.
En cas d'ingestion/prise accidentelle d'une dose excessive de Plasil, prévenez immédiatement votre médecin ou rendez-vous à l'hôpital le plus proche.
EN CAS DE DOUTE SUR L'UTILISATION DE PLASIL, CONTACTEZ VOTRE MEDECIN OU VOTRE PHARMACIEN
Effets secondaires Quels sont les effets secondaires de Plasil
Comme tous les médicaments, Plasil est susceptible d'avoir des effets indésirables, bien que tout le monde n'y soit pas sujet. Les effets indésirables sont classés par systèmes et organes. Les fréquences sont définies selon la convention suivante :
- très fréquent (≥1 / 10),
- commun (≥1/100 à <1/10),
- peu fréquent (≥1 / 1 000 à <1/100),
- rare (≥1 / 10 000 à <1 / 1 000),
- très rare (<1 / 10 000),
- indéterminée (la fréquence ne peut être estimée à partir des données disponibles).
* Pathologies endocriniennes au cours d'un traitement prolongé en rapport avec l'hyperprolactinémie (aménorrhée, galactorrhée, gynécomastie).
Les réactions suivantes, parfois associées, surviennent plus fréquemment lorsque des doses élevées sont administrées :
- Symptômes extrapyramidaux : dystonie et dyskinésie aiguës, syndrome parkinsonien, akathisie, même après l'administration d'une dose unique du médicament, en particulier chez les enfants et les jeunes adultes (voir rubrique « Mises en garde spéciales »).
- Somnolence, diminution du niveau de conscience, confusion, hallucinations.
Le respect des instructions contenues dans la notice réduit le risque d'effets indésirables.
Déclaration des effets secondaires
Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien, y compris tout effet indésirable éventuel non mentionné dans cette notice. Les effets indésirables peuvent également être signalés directement via le système national de notification à l'adresse www.agenziafarmaco.gov.it/it/responsabili.
En signalant les effets secondaires, vous pouvez contribuer à fournir plus d'informations sur la sécurité de ce médicament.
Expiration et conservation
Expiration : voir la date d'expiration imprimée sur l'emballage. La date de péremption indiquée fait référence au produit dans un emballage intact, correctement stocké.
ATTENTION : ne pas utiliser le médicament après la date de péremption indiquée sur l'emballage.
Les médicaments ne doivent pas être jetés au tout à l'égout ou avec les ordures ménagères.Demandez à votre pharmacien comment éliminer les médicaments que vous n'utilisez plus.Cela contribuera à protéger l'environnement.
GARDER CE MEDICAMENT HORS DE LA VUE ET DE LA PORTEE DES ENFANTS
Composition
Un flacon contient :
- Ingrédient actif : Métoclopramide monochlorhydrate monohydraté 10,5 mg (équivalent à 10 mg de substance anhydre).
- Excipients : Métabisulfite de sodium ; Chlorure de sodium; Eau pour préparations injectables.
FORME PHARMACEUTIQUE ET CONTENU
"10 mg/2 ml solution injectable" - 5 ampoules 2 ml
Notice d'emballage source : AIFA (Agence italienne des médicaments). Contenu publié en janvier 2016. Les informations présentes peuvent ne pas être à jour.
Pour avoir accès à la version la plus récente, il est conseillé d'accéder au site Internet de l'AIFA (Agence Italienne du Médicament). Avis de non-responsabilité et informations utiles.
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- 01.0 DÉNOMINATION DU MÉDICAMENT
- 02.0 COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
- 03.0 FORME PHARMACEUTIQUE
- 04.0 INFORMATIONS CLINIQUES
- 04.1 Indications thérapeutiques
- 04.2 Posologie et mode d'administration
- 04.3 Contre-indications
- 04.4 Mises en garde spéciales et précautions d'emploi appropriées
- 04.5 Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions
- 04.6 Grossesse et allaitement
- 04.7 Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
- 04.8 Effets indésirables
- 04.9 Surdosage
- 05.0 PROPRIÉTÉS PHARMACOLOGIQUES
- 05.1 Propriétés pharmacodynamiques
- 05.2 "Propriétés pharmacocinétiques
- 05.3 Données de sécurité précliniques
- 06.0 INFORMATIONS PHARMACEUTIQUES
- 06.1 Excipients
- 06.2 Incompatibilité "
- 06.3 Durée de validité "
- 06.4 Précautions particulières de conservation
- 06.5 Nature du conditionnement primaire et contenu de l'emballage
- 06.6 Instructions d'utilisation et de manipulation
- 07.0 TITULAIRE DE L'AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
- 08.0 NUMÉRO D'AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHÉ
- 09.0 DATE DE PREMIÈRE AUTORISATION OU DE RENOUVELLEMENT DE L'AUTORISATION
- 10.0 DATE DE RÉVISION DU TEXTE
- 11.0 POUR LES MÉDICAMENTS RADIO, DONNÉES COMPLÈTES SUR LA DOSIMÉTRIE INTERNE DES RAYONNEMENTS
- 12.0 POUR LES MÉDICAMENTS RADIO, INSTRUCTIONS DÉTAILLÉES SUPPLÉMENTAIRES SUR LA PRÉPARATION EXEMPORAIRE ET LE CONTRLE DE QUALITÉ
01.0 DÉNOMINATION DU MÉDICAMENT
PLASIL 10 MG / 2 ML SOLUTION POUR INJECTION
02.0 COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
10 mg/2 ml de solution injectable
Un flacon contient :
Principe actif: monochlorhydrate de métoclopramide monohydraté 10,5 mg (équivalent à 10 mg de substance anhydre).
Excipients: le métabisulfite de sodium.
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.
03.0 FORME PHARMACEUTIQUE
Solution injectable pour usage intramusculaire ou intraveineux.
04.0 INFORMATIONS CLINIQUES
04.1 Indications thérapeutiques
Population adulte
Plasil est indiqué chez l'adulte pour :
- Prévention des nausées et vomissements postopératoires (Nausées et vomissements postopératoires, NVPO)
- Traitement symptomatique des nausées et vomissements, y compris nausées et vomissements aigus induits par la migraine
• Prévention des nausées et vomissements induits par la radiothérapie (nausées et vomissements induits par la radiothérapie, RINV)
Population pédiatrique
Plasil est indiqué chez les enfants âgés de 1 à 18 ans pour :
• Prévention des nausées et vomissements retardés induits par la chimiothérapie (CINV) en deuxième intention
- Traitement des nausées et vomissements postopératoires (NVPO) en deuxième intention
04.2 Posologie et mode d'administration
La solution peut être administrée par voie intraveineuse ou intramusculaire.
Les doses intraveineuses doivent être administrées en bolus lent (au moins 3 minutes).
Toutes indications (patients adultes)
Pour la prévention des nausées et vomissements postopératoires (NVPO), une dose unique de 10 mg est recommandée.
Pour le traitement symptomatique des nausées et vomissements, y compris les nausées et vomissements aigus induits par la migraine et pour la prévention des nausées et vomissements induits par la radiothérapie (RINV) : la dose unique recommandée est de 10 mg, répétable jusqu'à 3 fois par jour.
La dose maximale recommandée est de 30 mg ou 0,5 mg/kg de poids corporel.
La durée du traitement injectable doit être la plus courte possible puis passer à une administration orale ou rectale dès que possible.
Toutes indications (patients pédiatriques âgés de 1 à 18 ans)
La dose recommandée est de 0,1 à 0,15 mg/kg de poids corporel, répétable jusqu'à trois fois par jour par voie intraveineuse. La dose maximale en 24 heures est de 0,5 mg/kg de poids corporel.
Tableau posologique
La durée maximale de traitement est de 48 heures pour le traitement des nausées et vomissements postopératoires déterminés (NVPO)
La durée maximale de traitement est de 5 jours pour la prévention des nausées et vomissements retardés induits par la chimiothérapie (CINV)
Il est recommandé d'administrer le médicament aux doses indiquées
Mode d'administration :
Un intervalle minimum de 6 heures entre deux administrations doit être respecté (voir rubrique 4.4).
Le flacon s'ouvre sans fichier.
Populations particulières
personnes agées
Chez les patients âgés, une réduction de la dose doit être envisagée en fonction de la fonction rénale et hépatique et de la sensibilité générale.
Insuffisance rénale:
Chez les patients atteints d'insuffisance rénale terminale (clairance de la créatinine ≤ 15 ml/min), la dose quotidienne doit être réduite de 75 %.
Chez les patients présentant une insuffisance rénale modérée à sévère (clairance de la créatinine 15-60 ml/min), la dose quotidienne doit être réduite de 50 % (voir rubrique 5.2).
Insuffisance hépatique:
Chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère, la dose doit être réduite de 50 % (voir rubrique 5.2).
Population pédiatrique
Le métoclopramide est contre-indiqué chez les enfants de moins de 1 an (voir rubrique 4.3).
04.3 Contre-indications
• Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1
• Saignement gastro-intestinal, obstruction mécanique ou perforation gastro-intestinale pour lesquels la stimulation de la motilité gastro-intestinale présente un risque
• Phéochromocytome confirmé ou suspecté, en raison du risque d'épisodes d'hypertension sévère
• Patients atteints de glaucome
• Antécédents de dyskinésie tardive induite par les neuroleptiques ou le métoclopramide
• Épilepsie (augmentation de la fréquence et de l'intensité des crises)
• La maladie de Parkinson
• Association avec la lévodopa ou des agonistes dopaminergiques (voir rubrique 4.5)
• Antécédents connus de méthémoglobinémie avec métoclopramide ou de déficit en NADH cytochrome b5 réductase
• Utilisation chez les enfants de moins de 1 an en raison du risque accru de troubles extrapyramidaux (voir rubrique 4.4)
04.4 Mises en garde spéciales et précautions d'emploi appropriées
Troubles neurologiques
Des troubles extrapyramidaux peuvent survenir, en particulier chez l'enfant et l'adulte jeune et/ou avec l'utilisation de doses élevées.Ces réactions surviennent généralement en début de traitement et peuvent survenir après une seule administration. Le métoclopramide doit être arrêté immédiatement en cas de symptômes extrapyramidaux. Ces effets sont généralement totalement réversibles après l'arrêt du traitement mais peuvent nécessiter un traitement symptomatique (benzodiazépines chez l'enfant et/ou anticholinergiques et antiparkinsoniens chez l'adulte).
L'intervalle de temps d'au moins 6 heures entre deux administrations, tel que spécifié dans la rubrique 4.2, doit être respecté, même en cas de vomissements et de rejet de la dose, afin d'éviter les cas de surdosage.
Un traitement prolongé par métoclopramide peut provoquer une dyskinésie tardive potentiellement irréversible, en particulier chez les personnes âgées. La durée du traitement ne doit pas dépasser 3 mois en raison du risque de dyskinésie tardive (voir rubrique 4.8). Le traitement doit être interrompu si des symptômes de dyskinésie tardive apparaissent.
Un syndrome malin des neuroleptiques a été rapporté avec le métoclopramide en association avec des neuroleptiques ainsi qu'avec le métoclopramide en monothérapie (voir rubrique 4.8).En cas de symptômes de syndrome malin des neuroleptiques, le métoclopramide doit être arrêté immédiatement et un traitement approprié instauré.
Une prudence particulière doit être exercée chez les patients présentant des troubles neurologiques concomitants et chez les patients traités par d'autres médicaments affectant le système nerveux central (voir rubrique 4.3).
Les symptômes de la maladie de Parkinson peuvent être exacerbés par le métoclopramide.
Méthémoglobinémie
Une méthémoglobinémie possiblement liée à un déficit en NADH cytochrome b5 réductase a été rapportée. Dans de tels cas, le métoclopramide doit être arrêté immédiatement et définitivement et des mesures appropriées (telles qu'un traitement au bleu de méthylène) doivent être prises.
Pathologies cardiaques
Des effets indésirables cardiovasculaires graves, notamment des cas de collapsus circulatoire, de bradycardie sévère, d'arrêt cardiaque et d'allongement de l'intervalle QT ont été rapportés suite à l'administration de métoclopramide injectable, en particulier par voie intraveineuse (voir rubrique 4.8).
Il convient d'être particulièrement prudent lors de l'administration de métoclopramide, en particulier par voie intraveineuse aux personnes âgées, aux patients présentant des troubles de la conduction cardiaque (y compris un allongement de l'intervalle QT), aux patients présentant un déséquilibre électrolytique non corrigé, une bradycardie et aux patients prenant d'autres médicaments connus pour allonger l'intervalle QT.
Les doses intraveineuses doivent être administrées sous forme de bolus lent (d'une durée d'au moins 3 minutes) pour réduire le risque d'effets indésirables (p. ex., hypotension, akathisie).
Insuffisance rénale et hépatique
Chez les patients présentant une insuffisance rénale ou une insuffisance hépatique sévère, une réduction de dose est recommandée (voir rubrique 4.2).
L'administration intraveineuse du médicament doit se faire lentement, sur une période d'au moins trois minutes.
Les flacons contiennent du métabisulfite de sodium ; cette substance peut provoquer des réactions allergiques et des crises d'asthme sévères chez les sujets sensibles et particulièrement chez les asthmatiques.
L'augmentation possible des taux de prolactine doit être soigneusement étudiée, en particulier chez les patientes atteintes d'un cancer du sein ou d'un adénome hypophysaire sécrétant de la prolactine.
L'utilisation concomitante de métoclopramide avec des boissons alcoolisées n'est pas recommandée.
04.5 Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions
Associations contre-indiquées
La lévodopa ou les agonistes dopaminergiques et le métoclopramide s'antagonisent l'un l'autre (voir rubrique 4.3).
Associations à éviter
L'alcool renforce l'effet sédatif du métoclopramide.
Associations à prendre en considération
En raison de l'effet procinétique du métoclopramide, l'absorption de certains médicaments peut être altérée.
Anticholinergiques et dérivés de la morphine
Les anticholinergiques et les dérivés de la morphine peuvent tous deux avoir un effet antagoniste du métoclopramide sur la motilité du tube digestif.
Dépresseurs du système nerveux central (dérivés de la morphine, anxiolytiques, antihistaminiques sédatifs H1, antidépresseurs sédatifs, barbituriques, clonidine et médicaments apparentés)
Les effets sédatifs des médicaments dépresseurs du SNC et du métoclopramide sont potentialisés.
Neuroleptiques
Le métoclopramide peut avoir un effet additif avec d'autres neuroleptiques en cas de troubles extrapyramidaux.
Médicaments sérotoninergiques
L'utilisation de métoclopramide avec des médicaments sérotoninergiques tels que les ISRS peut augmenter le risque de syndrome sérotoninergique.
Digoxine
Le métoclopramide pourrait réduire la biodisponibilité de la digoxine. Une surveillance étroite des concentrations plasmatiques de digoxine est nécessaire.
Cyclosporine
Le métoclopramide augmente la biodisponibilité de la cyclosporine (Cmax de 46 % et exposition de 22 %). Une surveillance étroite des concentrations plasmatiques de cyclosporine est nécessaire. Les conséquences cliniques sont incertaines.
Mivacurium et suxaméthonium
L'injection de métoclopramide peut prolonger la durée du bloc neuromusculaire (par inhibition des cholinestérases plasmatiques).
Inhibiteurs puissants du CYP2D6
Les niveaux d'exposition au métoclopramide sont augmentés en cas d'administration concomitante avec des inhibiteurs puissants du CYP2D6 tels que la fluoxétine et la paroxétine. Bien que la signification clinique soit incertaine, les patients doivent être surveillés pour des effets indésirables.
Cisplatine
Certaines observations rapportent, avec le métoclopramide, une augmentation de la toxicité rénale du cisplatine.
Insuline
En réduisant le transit intestinal, y compris alimentaire, le traitement par métoclopramide peut nécessiter un ajustement de la posologie d'insuline dans le diabète.
Le métoclopramide réduit également les effets de l'apomorphine sur le S.N.C.
04.6 Grossesse et allaitement
Grossesse
Un grand nombre de données sur les femmes enceintes (plus de 1 000 résultats d'exposition) indique l'absence de toxicité malformative et de foetotoxicité. En cas de nécessité clinique, le métoclopramide peut être utilisé pendant la grossesse. En raison des propriétés pharmacologiques (comme avec les autres neuroleptiques), un syndrome extrapyramidal chez le nouveau-né ne peut être exclu lorsque le métoclopramide est administré en fin de grossesse. Le métoclopramide doit être évité en fin de grossesse. Si le métoclopramide est utilisé, une surveillance néonatale doit être instaurée.
L'heure du repas
Le métoclopramide est excrété dans le lait maternel à de faibles taux. Des effets indésirables chez le nourrisson allaité ne peuvent être exclus. Par conséquent, le métoclopramide n'est pas recommandé pendant l'allaitement.L'arrêt du métoclopramide chez la femme qui allaite doit être envisagé.
04.7 Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
Le métoclopramide peut provoquer de la somnolence, des étourdissements, des dyskinésies et des dystonies qui peuvent affecter la vision et également interférer avec l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.
04.8 Effets indésirables
Les effets indésirables sont classés par systèmes et organes. Les fréquences sont définies selon la convention suivante : très fréquent (≥1 / 10), fréquent (≥1 / 100, ≥1 / 1 000, ≥1 / 10 000,
* Pathologies endocriniennes au cours d'un traitement prolongé en rapport avec l'hyperprolactinémie (aménorrhée, galactorrhée, gynécomastie).
Les réactions suivantes, parfois associées, surviennent plus fréquemment lorsque des doses élevées sont administrées :
• Symptômes extrapyramidaux : dystonie et dyskinésie aiguës, syndrome parkinsonien, akathisie, même après administration d'une dose unique, en particulier chez les enfants et les jeunes adultes (voir rubrique 4.4).
• Somnolence, diminution du niveau de conscience, confusion, hallucinations.
Les flacons contiennent du métabisulfite de sodium ; cette substance peut provoquer des réactions allergiques et des crises d'asthme sévères chez les sujets sensibles et particulièrement chez les asthmatiques.
Déclaration des effets indésirables suspectés.
La déclaration des effets indésirables suspectés survenant après autorisation du médicament est importante car elle permet un suivi continu du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé sont invités à déclarer tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration. agenziafarmaco.gov.it/it/responsabili.
04.9 Surdosage
Symptômes
Des symptômes extrapyramidaux, une somnolence, une diminution du niveau de conscience, une confusion, des hallucinations et un arrêt cardiorespiratoire peuvent survenir.
La gestion
En cas de symptômes extrapyramidaux liés ou non à un surdosage, le traitement est uniquement symptomatique (benzodiazépines chez l'enfant et/ou antiparkinsoniens anticholinergiques chez l'adulte).
Un traitement symptomatique et une surveillance continue des fonctions cardiovasculaires et respiratoires doivent être pratiqués en fonction de l'état clinique.
05.0 PROPRIÉTÉS PHARMACOLOGIQUES
05.1 Propriétés pharmacodynamiques
Classe pharmacothérapeutique : Médicaments pour les troubles gastro-intestinaux fonctionnels - Prokinetics
Code ATC : A03FA01
Le métoclopramide stimule et coordonne la motilité du tractus supérieur du tractus gastro-intestinal, sans modifier les sécrétions gastriques, pancréatiques et biliaires.
Son mécanisme d'action est complexe, étant l'antagoniste compétitif des récepteurs D1 et D2 (dopamine) et des récepteurs 5-HT3 (sérotonine), ainsi qu'agoniste non spécifique des récepteurs 5-HT4 impliqués dans la stimulation des neurones cholinergiques entériques. activité procinétique intestinale, indépendante de l'innervation vagale mais abolie par l'atropine et d'autres antagonistes muscariniques.
Elle détermine une augmentation du tonus et de l'amplitude des contractions gastroduodénales et, à un sens distal progressivement réduit, une augmentation coordonnée des mouvements de propulsion du jéjunum, de l'iléon et du colon, avec une progression périphérique du contenu endoluminal.
Augmente encore le tonus de la musculature du tiers moyen et inférieur de l'œsophage et donc la pression au niveau du sphincter, tout en libérant le pylore et le bulbe duodénal.Ces actions se traduisent par une vidange gastrique accélérée et une diminution dans le reflux du duodénum dans l'estomac et dans l'œsophage.
05.2 "Propriétés pharmacocinétiques
Absorption : Le métoclopramide est bien absorbé atteignant, après une administration unique de 10 mg, des taux plasmatiques de 54 ng/ml après environ 1 heure, sans variabilité significative entre les différentes formulations pharmaceutiques orales. Sa biodisponibilité varie individuellement entre 35 et 100 %. La voie intramusculaire détermine des pics de concentration significativement plus élevés, détectés à environ 3 heures.
Distribution : le médicament est un composé liposoluble basique et présente un grand volume de distribution (entre 2,2 et 3,4 L/Kg/h) et une dégradation tissulaire rapide, avec une demi-vie de distribution comprise entre 5 et 21 minutes pour la formulation.iv (entre 0,35 - 0,63 h pour l'oral). L'affinité de liaison avec les protéines plasmatiques est égale à 40 % de la quantité présente dans la circulation.
Métabolisme : le médicament est métabolisé dans le foie par des processus de conjugaison simples ; de légères altérations de la fonction hépatique, en présence d'une fonction rénale normale, ne semblent pas prédisposer à des modifications évidentes des paramètres pharmacocinétiques.
Concentrations plasmatiques actives : elles dépendent de la nature et de la gravité de la maladie à traiter ; Par exemple, alors que des valeurs de 10 à 20 ng/mL représentent la limite inférieure de la plage thérapeutique, des concentrations plus élevées allant jusqu'à plus de 1000 ng/mL peuvent être nécessaires pour contrer les vomissements de cisplatine.
Élimination : elle est dose-dépendante, variant entre 3 et 5 heures après une administration orale unique de 10 et 20 mg ; la clairance est de 0,4 - 0,7 L / kg / h.
Environ 86 % de la dose orale est éliminée dans les urines, en partie sous forme libre et en partie sous forme de métabolites inactifs, les principaux étant le N-sulfate et le N-glucuronate. Le reste est éliminé avec la bile et d'autres émoncteurs ( métoclopramide est également excrétée avec du lait).
La clairance du métoclopramide est nettement réduite chez les insuffisants rénaux (0,2 L/kg/h).
Insuffisance rénale
La clairance du métoclopramide est diminuée jusqu'à 70 % chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère, tandis que la demi-vie d'élimination plasmatique est augmentée (environ 10 heures pour une clairance de la créatinine de 10-50 ml/minute et 15 heures pour une clairance de créatinine de
Insuffisance hépatique
Une accumulation de métoclopramide associée à une réduction de 50 % de la clairance plasmatique a été observée chez les patients atteints de cirrhose du foie.
05.3 Données de sécurité précliniques
Les données expérimentales sur les animaux ne révèlent aucun risque particulier pour l'homme sur la base des études conventionnelles de sécurité, de toxicité à doses répétées, de génotoxicité, de potentiel cancérigène, de toxicité pour la reproduction.
06.0 INFORMATIONS PHARMACEUTIQUES
06.1 Excipients
Le métabisulfite de sodium; chlorure de sodium; eau pour préparations injectables.
06.2 Incompatibilité
Aucun cas d'incompatibilité n'a été mis en évidence.
06.3 Durée de validité
5 années.
06.4 Précautions particulières de conservation
Non fourni.
06.5 Nature du conditionnement primaire et contenu de l'emballage
Boîte de 5 ampoules (2 ml) de 10 mg
06.6 Instructions d'utilisation et de manipulation
Pas d'instructions particulières
07.0 TITULAIRE DE L'AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
Sanofi S.p.A.
Viale L. Bodio 37 / b - IT-20158 Milan
08.0 NUMÉRO D'AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHÉ
10 mg/2 ml solution injectable, 5 ampoules 2 ml : AIC 020766010
09.0 DATE DE PREMIÈRE AUTORISATION OU DE RENOUVELLEMENT DE L'AUTORISATION
03.10.1966/01.06.2010
10.0 DATE DE RÉVISION DU TEXTE
Mai 2015