Faites défiler vers le bas pour lire le tableau récapitulatif sur les dyskinésies
- Dystonie : contractions musculaires involontaires, prolongées dans le temps, caractérisées par des gestes répétitifs et cadencés
- Akathisie : tremblement interne
- Dyskinésies tardives : dyskinésies collatérales typiques de l'administration de substances antipsychotiques, neuroleptiques et antiémétiques. Caractérisé par des mouvements hyperkinétiques involontaires, une raideur, une tension musculaire, une bradykinésie, des mouvements stéréotypés, fréquents et rythmés
- Dyskinésie de sevrage tardive : des mouvements hyperkinétiques suivent l'interruption du traitement médicamenteux
- Athétose : les mouvements involontaires sont particulièrement lents
- Corée : les mouvements apparaissent rapides, continus et incontrôlés
- Crampes : les mouvements sont involontaires et douloureux, dont la cause réside avant tout dans l'effort musculaire excessif
- Dystonie : posture anormale prise par le corps
- Hémiballisme : mouvements particulièrement violents du corps
- Myoclonies : mouvements involontaires courts et temporaires typiques du sommeil
- Synkinésie : mouvement involontaire d'un membre, lorsque le mouvement s'effectue dans l'autre membre
- Tics : mouvements répétés, identiques et rythmés (nature psychogène)
- Tremblements : oscillations musculaires rythmiques non prédites par le SNC, générées par des faisceaux musculaires antagonistes
- dyskinésie utérine
- dyskinésie biliaire
- dyskinésie myocardique
- dyskinésies du sphincter supérieur de l'œsophage
- dyskinésie ciliaire primitive
- Hyperkinésies
- Hypokinésies
Conséquences psychologiques: troubles psycho-sociaux possibles, handicap mental
Tableau clinique général:
- Mouvements du visage et des yeux
- Dyskinésies péribuccales
- Mouvements des extrémités
- Dyskinésies du tronc
- Administration constante et chronique de médicaments neuroleptiques-antipsychotiques utilisés dans le traitement de la dépression, des nausées et de la dyspepsie
- Le risque de provoquer une dyskinésie est directement proportionnel à l'augmentation de la posologie et de la durée du traitement.
- Vieillissement du patient
- Probablement, les femmes sont plus à risque, en particulier pendant la période de ménopause
- Dépression, maladies dégénératives (par exemple diabète) et maladie de Parkinson
- Tabagisme, alcool et drogues
- Prédisposition génétique possible
- Approche pluridisciplinaire
- Examen clinique-objectif du patient : contrôle de tous les mouvements hypokinétiques ou hyperkinétiques du patient
- Analyse psycho-neurologique du patient
- Échelle AIMS : outil d'investigation utile pour reconnaître les premiers symptômes de la dyskinésie et pour surveiller toute dégénérescence pathologique dans le temps
- Tests de laboratoire (par exemple SMA-18, CBC, etc.)
- Antécédents familiaux (pour vérifier les maladies hypothétiques d'origine neurologique)
- Réduction du dosage des substances neuroleptiques pour les patients ayant encore des troubles psychotiques
- Arrêt du médicament lorsque le patient s'est complètement remis de la psychose
- De nouvelles options thérapeutiques efficaces possibles : vitamine D, toxine botulique et tétrabénazine
Remplacement du médicament neuroleptique par un autre, avec moins d'effets secondaires sur le mouvement musculaire
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