La production d'images est possible grâce à un outil technologique particulier, qui émet des rayonnements ionisants.
Quant à la réalisation d'une radiographie du thorax, elle se fait de manière très simple : le patient est positionné entre l'instrument qui émet le rayonnement ionisant (derrière) et la plaque photographique ou détecteur numérique permettant d'enregistrer le rayonnement (devant, en direct contact avec la poitrine).
Une fois l'instrument activé, les radiations émises frappent le thorax de l'individu examiné et, selon la manière dont elles sont absorbées par les différentes structures anatomiques, s'impriment sur la plaque avec différentes nuances. Par exemple, les os paraissent blancs parce qu'ils absorbent beaucoup de rayonnement, tandis que les poumons paraissent noirs parce qu'ils absorbent peu de rayonnement.
Généralement, l'examen s'effectue debout, mais, dans certaines situations, il peut également être réalisé allongé, sur un lit spécialement conçu à cet effet.
et éventuellement aussi toux sévère et/ou persistante, douleur thoracique, douleur thoracique due à un traumatisme, fièvre.
Grâce aux reproductions que peut fournir une radiographie pulmonaire, les médecins peuvent analyser :
Poumons. La radiographie thoracique permet de diagnostiquer diverses affections morbides, notamment : les infections pulmonaires, la mucoviscidose, les carcinomes pulmonaires, l'emphysème pulmonaire, le pneumothorax, etc.
Le cœur. Toute anomalie ou malformation cardiaque peut être identifiée, telle que des défauts valvulaires ou une condition appelée tamponnade cardiaque.
Les vaisseaux sanguins qui partent du cœur. Des défauts peuvent être observés dans les vaisseaux qui relient le cœur aux poumons ou dans les vaisseaux qui relient le cœur à diverses parties du corps (aorte).
La présence de dépôts de calcium dans les vaisseaux sanguins.
La présence de fractures osseuses.
Changements dans le cœur ou les poumons après la chirurgie.
Placement de stimulateurs cardiaques, de défibrillateurs implantables ou de cathéters cardiaques.
thoraciques, produisent des images internes du corps, grâce à des équipements qui émettent différentes doses de rayonnements ionisants.
Mais comment la radioactivité est-elle mesurée et quelle est la quantité précise de rayonnement ionisant qui frappe le patient lors de ces tests ?
Premièrement, l'unité de mesure la plus couramment utilisée pour quantifier la radioactivité est le millisievert (mSv).
Deuxièmement, chaque examen radiologique fournit une « émission de rayonnement ionisant spécifique, qui dépend de la zone du corps à analyser. Par exemple, une radiographie pulmonaire est réalisée avec un nombre de rayonnements inférieur à celui d'une radiographie de l'abdomen, mais plus haut qu'une radiographie dentaire et ainsi de suite.
En plus de quantifier le rayonnement émis par des tests individuels, les experts du domaine ont également tenté d'établir combien de jours/mois/années de radioactivité naturelle il faut pour développer la même radioactivité qu'un certain test de diagnostic. En prenant 3 mSv comme valeur moyenne de référence pour la radioactivité naturelle par an, les résultats qui en ressortent sont vraiment intéressants.
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